Tant que mes mains pourront ton corps étreindre by Philou
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Tant que mes mains pourront ton corps étreindre by Philou
Ecrit en sept 2008
Tant que mes mains pourront ton corps étreindre
Poème en actes multiples
Ô capitale de tous mes désirs
Que dans ta noblesse les bras ouverts
Mes passions puis-je enfin assouvir
Comment? Non, le Gerbix n'est pas pervers
Sous mes caresses lancinantes, espère
Que ton parc brille de mille feux
De ses princes comme un Hechter
Telle une serpente me mordant la queue
Mais diantre, quels beaux gardiens de but
Un Edel, un Landreau donnent un bel Alonzo
Je vous en prie, messieurs, ne faites pas votre pute
Invincible votre cage, vous serez les héros
Sus aux idées reçues, Calomnie! Enrageons!
Non, Ceara ne defend pas comme une bite
Êtes-vous à ce point borné que vous vîtes
Les centres de Mendy comme des déjections?
Un Armand à gauche, un navire à flots
Sans doublure, n'est-il point de faiblesse?
Ha ha, une recrue, nous avons les crocs
Sans elle, je susurre, en avant, serrons les fesses!
Dans l'axe traine un vieux Yepes croulant
Suivi d'un jeune Sakho plein de promesses
Ah le bougre! Bourillon ne manque pas de talent
Sans doute Camara nous refilera joyeux son herpès
Digard, au milieu laisse trainer tes savates
Ciel, je t'implore! Chante mon heaume, sois Clément
N'Goyi, Sankharé, jeunes rejetons à mille pattes
Soyez bénis comme le derrière envouté de vos mamans
Ô Rothen, ma muse, ma mie, que fais-tu
Si seul dans ton couloir gauche dépourvu?
Ta grâce et ton élégance méritent un ami
Que son nom qui viendra soit sanctifié je t'en prie
Gentilshommes venus du soleil, mon Souza
Everton du pauvre, violence, qualités physiques
Arnaud et Diané, mes agneaux, dans mes bras
Quand on vous voit, oui, oui, assumons, grosse trique
Enfin, devant, les attaquants, Pauleta, N'Gog
Luyindula, tu valses en lumière dans les gogues
Entrainement c'est parti, veuillez éteindre vos clopes
Tiens, la secrétaire, ma douce, vas-y, suce salope!
Tant que mes mains pourront ton corps étreindre
Poème en actes multiples
Ô capitale de tous mes désirs
Que dans ta noblesse les bras ouverts
Mes passions puis-je enfin assouvir
Comment? Non, le Gerbix n'est pas pervers
Sous mes caresses lancinantes, espère
Que ton parc brille de mille feux
De ses princes comme un Hechter
Telle une serpente me mordant la queue
Mais diantre, quels beaux gardiens de but
Un Edel, un Landreau donnent un bel Alonzo
Je vous en prie, messieurs, ne faites pas votre pute
Invincible votre cage, vous serez les héros
Sus aux idées reçues, Calomnie! Enrageons!
Non, Ceara ne defend pas comme une bite
Êtes-vous à ce point borné que vous vîtes
Les centres de Mendy comme des déjections?
Un Armand à gauche, un navire à flots
Sans doublure, n'est-il point de faiblesse?
Ha ha, une recrue, nous avons les crocs
Sans elle, je susurre, en avant, serrons les fesses!
Dans l'axe traine un vieux Yepes croulant
Suivi d'un jeune Sakho plein de promesses
Ah le bougre! Bourillon ne manque pas de talent
Sans doute Camara nous refilera joyeux son herpès
Digard, au milieu laisse trainer tes savates
Ciel, je t'implore! Chante mon heaume, sois Clément
N'Goyi, Sankharé, jeunes rejetons à mille pattes
Soyez bénis comme le derrière envouté de vos mamans
Ô Rothen, ma muse, ma mie, que fais-tu
Si seul dans ton couloir gauche dépourvu?
Ta grâce et ton élégance méritent un ami
Que son nom qui viendra soit sanctifié je t'en prie
Gentilshommes venus du soleil, mon Souza
Everton du pauvre, violence, qualités physiques
Arnaud et Diané, mes agneaux, dans mes bras
Quand on vous voit, oui, oui, assumons, grosse trique
Enfin, devant, les attaquants, Pauleta, N'Gog
Luyindula, tu valses en lumière dans les gogues
Entrainement c'est parti, veuillez éteindre vos clopes
Tiens, la secrétaire, ma douce, vas-y, suce salope!
Gigi Meroni- Nombre de messages : 2630
Age : 38
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Inscription : 17/11/2008
Re: Tant que mes mains pourront ton corps étreindre by Philou
Sortons de ces amicaux sans gloire
En Angleterre nous fumes tournés
Enchainement, défaites, nuls, victoires
Peu nous chaut, messires, ça va chier
Le peuple entier dans ses chaumières
Dans l'arène les lions sont lâchés
Saperlipopette, mais quel vilain calendrier
Bordeaux, Monaco encadré par Auxerre
Ah Jérôme, enfin, le messie est arrivé
Seul, tu n'es plus, Dica, pas cher, classe
Roumain de lumière, l'attaque enchantée
Jouissons ensemble, slips mouillés, traces
Ah ah je me gausse, manants sans scrupules
Mathieu, oui, toi, Jeremy, sublime auréole
Tu es la clé des songes, le nez dans la colle
Sois vite, haut, fort, sans hésitation, encule
Enfin, impromptus, nous sommes à Lescure
Que vois-je, un troupeau de femmes mûres?
Beauté inextricable, réaction à la demande
Peu m'en faut, tranquille, ça y est, enfin, je bande
Toi, Laurent, immaculé jusque dans ta conception
Bouffeur de touillette, que tu es joli mignon
Mais non, non, non, je n'ai point peur, chenapan
Je vais te manger tout cru. Comment? Bien sur en blindant
Entends-tu, par delà les rivières, les hommes blessés?
Jurietti, Fernando, Chalmé, triplette de bouchers
Eric Poulat, si peu membré, jamais les jaunes?
Suis-je à ce point sot, acculé sur mon trône?
Fier, oui, j'insiste, fier, je suis de mes canassons
Contre vents et marées, solides, nous résistons
Arbitrage à domicile, bienvenue en Aquitaine
Merci Landreau, Dieu limpide, jusque dans tes mitaines
Vils bordelais, ne le sentiez-vous point venir?
Zéro zéro, un homme vous pouvez remercier
Pauleta, croqueuse du dimanche, combien de ratés?
Juste, sois bon! Je ne peux m'empêcher un sourire
Rictus déridé, soyons humbles, amis, sans culottes
Un bon résultat, toi-même, tu sais, quelles inepties!
Sur les quais, dignement, allons fêter la sortie
Grand, dans nos âmes, silencieuses, Blanc, petite crotte
En Angleterre nous fumes tournés
Enchainement, défaites, nuls, victoires
Peu nous chaut, messires, ça va chier
Le peuple entier dans ses chaumières
Dans l'arène les lions sont lâchés
Saperlipopette, mais quel vilain calendrier
Bordeaux, Monaco encadré par Auxerre
Ah Jérôme, enfin, le messie est arrivé
Seul, tu n'es plus, Dica, pas cher, classe
Roumain de lumière, l'attaque enchantée
Jouissons ensemble, slips mouillés, traces
Ah ah je me gausse, manants sans scrupules
Mathieu, oui, toi, Jeremy, sublime auréole
Tu es la clé des songes, le nez dans la colle
Sois vite, haut, fort, sans hésitation, encule
Enfin, impromptus, nous sommes à Lescure
Que vois-je, un troupeau de femmes mûres?
Beauté inextricable, réaction à la demande
Peu m'en faut, tranquille, ça y est, enfin, je bande
Toi, Laurent, immaculé jusque dans ta conception
Bouffeur de touillette, que tu es joli mignon
Mais non, non, non, je n'ai point peur, chenapan
Je vais te manger tout cru. Comment? Bien sur en blindant
Entends-tu, par delà les rivières, les hommes blessés?
Jurietti, Fernando, Chalmé, triplette de bouchers
Eric Poulat, si peu membré, jamais les jaunes?
Suis-je à ce point sot, acculé sur mon trône?
Fier, oui, j'insiste, fier, je suis de mes canassons
Contre vents et marées, solides, nous résistons
Arbitrage à domicile, bienvenue en Aquitaine
Merci Landreau, Dieu limpide, jusque dans tes mitaines
Vils bordelais, ne le sentiez-vous point venir?
Zéro zéro, un homme vous pouvez remercier
Pauleta, croqueuse du dimanche, combien de ratés?
Juste, sois bon! Je ne peux m'empêcher un sourire
Rictus déridé, soyons humbles, amis, sans culottes
Un bon résultat, toi-même, tu sais, quelles inepties!
Sur les quais, dignement, allons fêter la sortie
Grand, dans nos âmes, silencieuses, Blanc, petite crotte
Gigi Meroni- Nombre de messages : 2630
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Re: Tant que mes mains pourront ton corps étreindre by Philou
Ô antre magnifiée par tes couronnes de laurier
Ô parc des princes sublimé par ta volupté
Enfin, premier rendez-vous à la maison
Simpliste, contre les mauvais bourguignons
Quatre, Deux, Trois, Un, je dis Bombattak
Tactique lumineuse venue du pays de la pluie
Ah ah, des anus, ca va déchirer, tout pour l'attaque
Sex, drugs, rock'n roll, gigondas et bol de riz
Mais, et je pèse mon mot, mais dis-je, méfiance
Attention, danger, Jaurès, technique, Mignot
Sammy Traoré le bien-nommé, prudence
Ah ah, déconnade, trop drole, Auxerre égal zéro
Ô mon Amara, Diané vertueux, tu le sais,
Hein, tu le sais que je t'aime, petit scarabée
Magistralement tu nous claques un doublé
De ton cul, Riou, dépasse le royal balai
Et que dire de toi, mon Jeremy au deux prénoms
Mathieu, rouquin comme un champ de fleur
Tournesol qui illumine d'éclat leur rancœur
Après ton but, ton nom honorer nous devons
Merci amis auxerrois, vos fesses étaient accueillantes
Confiance est mère de tous vos vices, mécréants
Et nous nous dirigeons vers la principauté troublante
Un royal gourdin ruisselant dans ton trou béant
Ô long râle d'enchantement et d'allégresse
Que nous as-tu fait, Loris Arnaud, mon amourette?
Dis-moi pas que c'est pas vrai, ma déesse
Silence, furoncles! Qu'aucune mouche ne pète!
Loris, ta classe a ébloui le pauvre Louis
Deuxième du nom, en toi fut la magie
Quadruplé, ô quadruplé, quadruplé, quadruplé!
Oui, petit, offre nous ta sagesse d'illuminé
Quelle démonstration de ballon, géant Landreau,
Ton but inviolé, tes arrêts réflexes du bout du sexe
Mendy, Armand, couloirs vérrouillés comme l'enclos
Camara et Yepes, samba, guillotine, soirée tex-mex
Clement, tu transpires la classe mon idole américaine
Mathieu, que dire, bucheron éclatant de soupir
Souza, toi, mon Souza, toujours l'œil qui traine
Arnaud, Diané, Dica, trident offensif ô les ailes du désir
Ô parc des princes sublimé par ta volupté
Enfin, premier rendez-vous à la maison
Simpliste, contre les mauvais bourguignons
Quatre, Deux, Trois, Un, je dis Bombattak
Tactique lumineuse venue du pays de la pluie
Ah ah, des anus, ca va déchirer, tout pour l'attaque
Sex, drugs, rock'n roll, gigondas et bol de riz
Mais, et je pèse mon mot, mais dis-je, méfiance
Attention, danger, Jaurès, technique, Mignot
Sammy Traoré le bien-nommé, prudence
Ah ah, déconnade, trop drole, Auxerre égal zéro
Ô mon Amara, Diané vertueux, tu le sais,
Hein, tu le sais que je t'aime, petit scarabée
Magistralement tu nous claques un doublé
De ton cul, Riou, dépasse le royal balai
Et que dire de toi, mon Jeremy au deux prénoms
Mathieu, rouquin comme un champ de fleur
Tournesol qui illumine d'éclat leur rancœur
Après ton but, ton nom honorer nous devons
Merci amis auxerrois, vos fesses étaient accueillantes
Confiance est mère de tous vos vices, mécréants
Et nous nous dirigeons vers la principauté troublante
Un royal gourdin ruisselant dans ton trou béant
Ô long râle d'enchantement et d'allégresse
Que nous as-tu fait, Loris Arnaud, mon amourette?
Dis-moi pas que c'est pas vrai, ma déesse
Silence, furoncles! Qu'aucune mouche ne pète!
Loris, ta classe a ébloui le pauvre Louis
Deuxième du nom, en toi fut la magie
Quadruplé, ô quadruplé, quadruplé, quadruplé!
Oui, petit, offre nous ta sagesse d'illuminé
Quelle démonstration de ballon, géant Landreau,
Ton but inviolé, tes arrêts réflexes du bout du sexe
Mendy, Armand, couloirs vérrouillés comme l'enclos
Camara et Yepes, samba, guillotine, soirée tex-mex
Clement, tu transpires la classe mon idole américaine
Mathieu, que dire, bucheron éclatant de soupir
Souza, toi, mon Souza, toujours l'œil qui traine
Arnaud, Diané, Dica, trident offensif ô les ailes du désir
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